Les Américains de MOP (dimanche) et d'Onyx (samedi) ont succédé à La Fouine (vendredi) sur la scène de l'Olympic pour un week-end spécial rap qui a quasiment rempli la salle trois soirs de suite.
J'aurai aimé raconté ça dès dimanche, mais 10 heures de sommeil en trois jours ont eu raison de mon inspiration. Malheureusement, 24h de plus (dont 12 de sommeil) ont eu raison de certains de mes souvenirs. M'enfin je vais essayer.
En première partie d'Onyx, samedi, se déroulait le battle TKO. Le concours de beatbox était très intéressant. Le concours de DJ était trop technique. Le concours de beatmaker était trop court. Puis Fredro Starr et Sticky Fingaz ont déboulé sur scène avec leurs instrumentaux massifs pour enchaîner les tubes avec une rage communicative et une énergie débordante. Les yeux exorbités, la bave aux lèvres et le torse nu. Efficace.
En première partie de MOP, le lendemain, le New-Yorkais J-Live a régalé le public avec son flow technique et ses productions-barbecue. Un pur moment de rap en toute simplicité. Il va sérieusement falloir que je me penche sur son travail. Puis Billy Danz et Lil' Fame ont déboulé sur scène avec leurs instrumentaux massifs pour enchaîner les tubes avec une rage communicative et une énergie débordante. Les dents en or, la sueur au front et le gros ventre. Efficace.
La sensation d'avoir assisté à deux concerts complètement différents mais tellement identiques à de nombreux points de vue est vraiment étrange. Mais j'en demande déjà tellement au rap français que je vais laisser le rap américain tranquille.
L'interview fleuve de Lartizan, samedi soir à 14h du matin, s'est plutôt bien passée. Ne me demandez pas de date pour sa publication.
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