Tous les ans j'écris que tous les ans j'écris que le battle de breakdance du festival Hip Opsession c'est vraiment bien. Des danseurs de très haut niveau et des DJs qui assurent, comme d'habitude, une organisation impeccable et une ambiance de folie, comme d'habitude : cette année encore je n'ai qu'à changer la date, récupérer des nouvelles photos et empiler les superlatifs.
Le Lieu Unique était rempli dès vendredi soir pour la soirée d'échauffement, avec DJ Skeme Richards derrière les platines et quelques danseurs engagés dans les différents battles du lendemain. Il y en avait pour tous les goûts musicaux et surtout pour tous les niveaux de danse avec des sons classiques pour les bboys et des sons classiques pour le commun des mortels. Grosse ambiance et gros niveau, déjà, soit la soirée d'échauffement parfaite.
J'ai fait l'impasse sur les qualifications du samedi après midi et j'étais même un peu en retard pour les premiers battles du soir. J'ai donc manqué les premiers tours du battle bboys 1 contre 1, qui était de toute façon vraiment décevant par rapport aux autres années, et du battle bgirls 1 contre 1, qui était sympa, sans plus. Et le battle 3 contre 3 ? Génial, évidemment. Les 2000 spectateurs, encore plus réactifs que lors des éditions précédentes, ne s'y sont d'ailleurs pas trompés en réagissant bruyamment aux exploits des danseurs.
C'est toujours la guerre pour trouver une place assise et/ou confortable pour suivre l'évènement autrement que par l'intermédiaire des écrans géants, mais la sacro-sainte pause libère les fauteuils des fumeurs et j'étais donc assis à partir des quarts de finale. Les Bordelais de la Smala ont mis le feu à la salle avec leurs combinaisons à trois et leur danseur unijambiste, les hollandais d'EXG ont rendus fou les spectateurs avec leur taille de basketteurs et leur allure de teuffeurs, mais ce sont les Coréens du Jinjo crew et les Américains de Knuckleheads Cali, finalement vainqueurs, qui se sont retrouvés en finale. Du côté des 1 contre 1 ce sont deux Finlandais qui se sont imposés : AT chez les filles, malgré les prouesses de la Russe Nadia, et Focus chez les garçons, malgré l'excellence des deux Français Lamine et Abdel.
Comme en 2009, c'est le live band américain Fusik qui a assuré l'after avec son funk endiablé. Comme chaque année, les bboys ne s'arrêtent jamais et il y a donc eu des cercles et du spectacle jusqu'à 3h du matin. Et comme l'an dernier, celui d'avant, et celui d'encore avant, je ne pense déjà qu'à une chose : vivement l'an prochain.
Photos Erwin Enniger |
C'est toujours la guerre pour trouver une place assise et/ou confortable pour suivre l'évènement autrement que par l'intermédiaire des écrans géants, mais la sacro-sainte pause libère les fauteuils des fumeurs et j'étais donc assis à partir des quarts de finale. Les Bordelais de la Smala ont mis le feu à la salle avec leurs combinaisons à trois et leur danseur unijambiste, les hollandais d'EXG ont rendus fou les spectateurs avec leur taille de basketteurs et leur allure de teuffeurs, mais ce sont les Coréens du Jinjo crew et les Américains de Knuckleheads Cali, finalement vainqueurs, qui se sont retrouvés en finale. Du côté des 1 contre 1 ce sont deux Finlandais qui se sont imposés : AT chez les filles, malgré les prouesses de la Russe Nadia, et Focus chez les garçons, malgré l'excellence des deux Français Lamine et Abdel.
Comme en 2009, c'est le live band américain Fusik qui a assuré l'after avec son funk endiablé. Comme chaque année, les bboys ne s'arrêtent jamais et il y a donc eu des cercles et du spectacle jusqu'à 3h du matin. Et comme l'an dernier, celui d'avant, et celui d'encore avant, je ne pense déjà qu'à une chose : vivement l'an prochain.
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