jeudi 30 juin 2011

Nique sa mère la réinsertion

Vous me voyez là-haut, avec les bras levés ?

J'ai reçu une lettre du FC Nantes, hier. Pas d'entête ni de signature, pas de détails ni de justifications. Juste une sanction, cruelle et définitive : l'école de foot se passera de mes services d'éducateur pour la saison prochaine. En d'autres termes, je suis viré. Un tiers de mon temps se libère, mais un quart de mon salaire disparaît. Sans que je sache pourquoi ni par qui cette décision a été prise. Comme ça, d'un coup, un 29 juin. Aucune éthique, aucun respect, aucune élégance. Un courrier lâche et malhonnête symptomatique d'un club qui n'en finit plus de sombrer. La forme est tellement honteuse que le fond en devient plus acceptable. Un mal pour un bien, peut-être. Difficile pourtant de rebondir ailleurs à une époque de l'année où les autres clubs ont déjà bouclés leur recrutement. Ils m'ont fait tomber si bas que pour en parler faut que je me fasse mal au dos. Putain, quel club de bâtards. (référence nécessaire)

>>> LA LETTRE <<<

5 commentaires:

  1. Si y'avais des bites par terre y'en a qui marcheraient sur le cul.

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  2. Le "Madame, monsieur," veut tout dire. Tu veux que je fasse tourner ton CV chez Ouest France ?

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  3. Il me reste deux autres tafs à temps partiels, dont l'un à PO... Mais merci quand même, si je change d'avis je reviendrai vers toi.

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  4. Jé né po écriiiiiiiit cette lettré!

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